Suite des travaux
En juillet 2015, le moteur de la soufflerie, grâce à l’action des services techniques de la municipalité, est de nouveau fonctionnel (connexion au triphasé 380 volts).
Nous sommes surpris de constater pourtant un moins bon résultat : le soufflet ne se gonfle pas autant que lors de la tentative précédente. L’inspection attentive du soufflet montre une grosse déchirure, et nous savons déjà que de nombreuses tubulures du système de transmission pneumatique sont rompues. Pourrions-nous remédier au moins partiellement à tout cela ?
Le 3 septembre 2016 : nouvelle intervention, ce sont Benoit, Jean et Michel qui tentent de repérer et, si possible, colmater les plus grosses fuites. Par ailleurs, Benoit voudrait bien faire « parler » le jeu de quinte 2 pieds 2/3, qui fut ajouté en 1932.
La fuite importante repérée sur le soufflet en 2015 est, tant bien que mal, aveuglée au moyen de ruban adhésif. La commande (petit tube de plomb) du jeu de quinte est aussi l’objet d’une réparation, sans succès : elle est probablement rompue dans un endroit inaccessible, derrière les tuyaux de montre. Il en est de même pour les deux jeux d’undamarris et de flûte harmonique, dont les tirants ne produise aucun résultat. Le démontage et l’inspection de quelques tuyaux de la montre (ainsi nommés car ce sont eux qu’on voit en façade de l’orgue) permet de constater leur bon état d’émission sonore ; mais la cause du « cornement » (c’est à dire du fait — désagréable — qu’ils « parlent » tous seuls !) n’est pas trouvée.
Quelques tuyaux de « montre », et une représentation de Sainte Cécile, patronne des musiciens